Petrichor a écrit:Moi toujours JPEG et RAW, l'appareil génère les deux.
Il faut arrêter de couper les cheveux en quatre en sanctifiant le RAW... Pour les besoins du web, le JPEG n'est guère plus limitatif que le RAW lorsqu'il y a besoin de modifier destination web. De toutes façons, on sait pas trop ce que l'on vise côté "fine tuning" puisqu'on s'adresse à des milliers d'écrans, tous avec des réglages différents. Un quatre-cinq clicks de color balance, highlights/shadow, curves, sharpening et hop! on y est. Le JPEG fonctionne très bien.
Par contre, lorsque je veux imprimer en 36 x 48, là , oui, je pars du RAW. Je garde une archive de tous mes shootings, en RAW, que j'utilise lorsque j'ai besoin d'imprimer.
Je suis d'accord pour dire qu' un format web ne délivre pas toute la quintessence d un travail non destructif en 16 bits!
Par contre au traitement ont se rend compte assez rapidement de la limitation d un bipmap 8 bits lorsque l on pousse un peu plus
sur les curseurs, que ce soit pour les lumières que pour les couleurs ou teintes de gris!
Pour un traitement "léger" oui sa peut suffire, mais c est pas plus complexe de le faire sur un Raw ce qui permet de conserver
son réglage sur un fichier "maître" qui pourra lui être imprimer sans problème au besoin!
Donc pas besoin de refaire son traitement si jamais une photo destiné au web s avère être digne d une impression.
Le système de "fichier maître" (Psd ou tiff en 16bits pleine resolution, issue d un raw) simplifie justement le work flow non destructif!
On n a qu' a sauvegarder son fichier maître et en faire tout simplement un fichier de "sortie" qui peut être un format web (1024 ou 800)
ou un fichier pour impression pleine résolution!
C est justement le fait de multiplier les work flow dépendant de la destination et de devoir refaire son traitement en conséquence
qui rend la chose complexe de façon inutile
Nikon Zf, Nikon 24-120 F4 S, Nikon 24-70 F2.8 S, Nikon 105mm macro S, Nikon 200-500.