Déconstruire le mythe de la photo non retouchée!
https://www.youtube.com/watch?v=PFxB-Xh1e4M
Payé cher pour ce résultat! |
Bib a écrit:C’est sur.
Les capteurs des boîtiers ont intégrés depuis longtemps plusieurs étapes de développement.
Les images raw de mon premier apn étaient tellement affreuses, que les post traiter étaient obligatoire!
C’est ce qui m’a fait prendre des clichés jpeg longtemps.
Aujourd’hui, les photos raw sortent très bien du boîtier… et c’est tant mieux!
Norm a écrit:Intéressante cette video
Heureusement les boîtiers récents fournissent des jpegs plus qualitatifs que ce qu'il
nous donne comme exemple dans la video!
Cette façon de dire que le Jpeg du boîtier est une photo "naturelle" ou bien "sans traitement"
tient un peu je crois de l'époque argentique notamment du film diapositive avec le wyswyg.
(what you see what you get)
Et même là le résultat ne pouvait pas vraiment être dit naturel car le rendu différait selon
la marque ou le type pellicule!
Faut dire aussi que le rendu "brut" de la pellicule était plus apte à rendre une scène plus
"naturelle" à l'oeil avec sa meilleure latitude dans les extrêmes, que la linéarité produite
par les capteurs numériques.
La video fait aussi la démonstration que de prétendre choisir un preset du boîtier en
pensant qu'il se rapproche du rendu d'origine du raw est une croyance sans fondements.
Ont voit bien que sans courbes de tonalités, de balises de couleurs, de balance de blanc
qui ne sont dans le raw que des données numérique, les données graphiques du fichier
ne riment carrément à rien.
Il n'y as donc aucune autres avenue pour en faire une image appréciable à l'oeil, que
de se résoudre à en faire une interprétation avec le processeur de notre boîtier ou de
notre dématriceur
Ont comprend donc que ce que l'évolution des capteurs nous fourni est une dynamique plus étendu, un meilleur rendement en haut iso et une meilleure profondeur d'échantillonnage
(14 bits)mais pas vraiment de rapport direct avec le rendu.
Ce rendu est plus une question de l'évolution des processeurs qui génère le jpeg du boîtier
et des dématriceurs qui offrent des persets par défauts de plus en plus plaisants et équilibrés.
Les raws demeurent toujours aussi inutilisable sans dématricage.
Ce qui fait dire souvent avec raison que peu importe l'appareil, c'est la dextérité du photographe à amener une lumière de qualité au capteur et sa compétence à maitriser son logiciel de post traitement qui au final fait la qualité de l'image!
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